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Impact de la croissance du secteur

Les importations se situent à environ 17 millions de dollars, ce qui indique qu’il existe un importante opportunité pour la production locale, étant donné la demande inhérente.
Potential pour que de vastes plantations de palmier à huile et d’oléagineux et d’usines d’extraction d’huile emploient >50 000 personnes.

Assistance dans le développement de la transformation des aliments locaux, les savons et détergents, plus la production du biodiesel local. Pourrait également avoir un impact considérable sur les importations et les coûts du carburant

Opportunités commerciales

Les importations se situent à environ 17 millions de dollars, ce qui indique qu’il existe un importante opportunité pour la production locale, étant donné la demande inhérente.

Potential pour que de vastes plantations de palmier à huile et d’oléagineux et d’usines d’extraction d’huile emploient >50 000 personnes.
Assistance dans le développement de la transformation des aliments locaux, les savons et détergents, plus la production du biodiesel local. Pourrait également avoir un impact considérable sur les importations et les coûts du carburant

Compétitivité

Les importations se situent à environ 17 millions de dollars, ce qui indique qu’il existe un importante opportunité pour la production locale, étant donné la demande inhérente.

Potential pour que de vastes plantations de palmier à huile et d’oléagineux et d’usines d’extraction d’huile emploient >50 000 personnes.
Assistance dans le développement de la transformation des aliments locaux, les savons et détergents, plus la production du biodiesel local. Pourrait également avoir un impact considérable sur les importations et les coûts du carburant


Perspectives d’investissements

Les importations se situent à environ 17 millions de dollars, ce qui indique qu’il existe un importante opportunité pour la production locale, étant donné la demande inhérente.
Potential pour que de vastes plantations de palmier à huile et d’oléagineux et d’usines d’extraction d’huile emploient >50 000 personnes.
Assistance dans le développement de la transformation des aliments locaux, les savons et détergents, plus la production du biodiesel local. Pourrait également avoir un impact considérable sur les importations et les coûts du carburant

1. Impact de la croissance du secteur

90% de la quantité de riz consommée sur place sont importés, ce qui indique une importante demande locale. 
Actuellement 145 000 cultivateurs sont engagés dans la production du riz. Potentiel de création d’emploi massif
Deuxième aliment de base, les prix affectent les revenus disponibles et la demande des
produits dans d’autres secteurs.

2. Opportunités commerciales

La production mondiale devrait connaître une légère expansion, alors que la consommation mondiale devrait croître considérablement, parallèlement à la croissance démographique. La tendance à la baisse des prix devrait se stabiliser, ce qui rendra le riz plus cher que le blé.
La production de riz au Cameroun satisfait 20 % seulement de la demande nationale, alors que les prix au niveau local sont restés relativement stables. Le pays dépend des marchés internationaux pour combler le déficit de l’offre dans le pays.

3. Compétitivité

Les conditions naturelles favorables ne sont pas encore exploitées, pourtant le riz peut être cultivé dans toutes les régions naturelles du pays.
La majorité de la production locale provient des plantations irriguées du Nord-Ouest et de l’Extrême-Nord, très loin des centres de consommation situées dans le Sud. Le mauvais état des réseaux routiers entrave le transport du Nord vers le Sud, bien que le gouvernement ait fait de l’amélioration  / l’extension des réseaux routiers une priorité.
Le Cameroun dispose de capacités humaines et institutionnelles pour soutenir le développement de la production du riz.

4. Perspectives d’investissements

L’entreprise IKO a investi 120 millions de dollars dans la station rizicole, plus un bail de 99 ans portant sur 10 000 ha. Sino-cam a obtenu un bail de 99 ans portant sur de vastes étendues de terres productives pour la production et la commercialisation du riz


1. Impact de la croissance du secteur

15% des besoins de maïs sont comblés grâce aux importations ; il existe un potentiel de réduction des importations à travers la production locale.
Les plantations commerciales permettront de créer des milliers d’emplois, ce qui entraînera la réduction du taux de chômage.
Déterminant pour revenus ménagers disponibles et affecte la demande provenant d’autres secteurs. Intrant pour les secteurs du biocarburant, de l’élevage et des volailles.

2. Opportunités commerciales

La demande mondiale devrait dépasser l’offre de 17,2 millions de tonnes en 2011. Les prix devraient chuter à partir de 2015, lorsque la demande des Etats-Unis concernant l’éthanol à base de maïs atteindra son niveau maximum.
L’offre locale devrait augmenter sans être compensée par l’accroissement marginal de la demande. L’excédent qui en résulterait permettrait d’avoir un potentiel d’exportation vers la région

3. Compétitivité

Les zones de production optimale situées dans le Centre (région forestière bimodale) ; l’Ouest (Hauts plateaux), et l’Adamaoua (Savane supérieure). Le maïs pousse facile, le temps d’un cycle de production est de moins de 3
mois.
Coûts élevés de l’électricité du fait de la pénurie de la fourniture, faible densification du réseau routier. Toutefois, les routes nécessitant une amélioration / construction ont déjà été identifées par le gouvernement. La fourniture de l’électricité et de l’eau est en cours d’amélioration pour satifaire la demande.
Le savoir-faire et les compétences de base sont disponibles dans le court terme. Salaires bas, taux de chômage élevé, niveau de productivité élevé de la main d’oeuvre, culture de l’agriculture établie. Stockage, distribution des produits céréaliers gérées par l’Office céréalier.


4. Perspectives d’investissements

Les entreprises qui opèrent dans ce secteur sont : Compagnie Fruitiere, Dagnis, Danzer Group. La multi-nationale chinoise Sino-Cam a obtenu un bail de 99 ans portant sur de vastes étendues de terres productives à  Nanga-Eboko, pour la production et la commercialisation du riz, du maïs, du manioc, des fruits et des légumes. 

1. Impact de la croissance du secteur

Les importations de blé s’élèvent à 80,5 millions de dollars, soit 100 % des besoins de blé locaux, ce qui indique qu’il existe une opportunité majeure pour réduire les importations à travers la production locale
Ce secteur a un potentiel de création d’emplois et d’augmentation de revenus. Environ 2 000 emplois
Le blé est utilisé comme un intrant dans l’industrie de traitement d’aliments et dans les brasseries.


2. Opportunités commerciales

L’offre mondiale devrait légèrement être supérieure à la demande, alors que le déclin à long terme des prix mondiaux devrait se poursuivre. Les disponibilités mondiales de blé sont assez importantes. 
La demande locale de blé est en progression.

3. Compétitivité

Le blé pousse mieux dans les zones tempérées à pluviométrie faible à modérée. 
Coûts élevés de l’électricité du fait de la pénurie de la fourniture, de même que la faible densification du réseau routier. Toutefois, les routes qui nécessitent une mise à niveau / une construction ont été identifiées par le gouvernement. En outre, la fourniture de l’électricité et de l’eau est en cours d’amélioration pour satisfaire la demande.
Le savoir-faire et les compétences de base sont disponibles dans le court terme. Salaires bas, taux de chômage élevé, niveau de productivité élevé de la main d’oeuvre, culture de ‘agriculture. 

Perspectives d’investissements

§Les sociétés locales sont :
 


1. Impact de la croissance du secteur

Actuellement, le pays importe du sucre à un montant d’environ 54 millions de dollars, et il existe un potentiel de production locale pour réduire les importations
2 à 3 grandes sociétés sucrières emploieront plus de 30 000 personnes et des sous-traitants.
Pourrait aider au développement de la transformation des aliments locaux (en particulier le secteur de la confiserie), plus la production de l’éthanol local. Pourrait également avoir un impact considérable sur les importations et les coûts de carburant.

2. Opportunités commerciales

La demande prévue dépasse de loin l’offre et le déficit de production est estimé à 30 000 – 50 000 tonnes par an. Les prix sont très soutenus étant donné l’augmentation de la production en Asie, de même que l’augmentation de la demande de biodiesel.
Production modérée prévue en 2014/15. Sosucam oeuvre pour accroître sa production, ce qui a contribué à faire progresser la pénurie sur le marché national. Le sucre produit par Sosucam est en partie exporté de façon informelle vers le Nigeria, ce qui réduit davantage l’offre au niveau local. 

3. Compétitivité

Le potentiel du sucre est largement inexploité étant donné qu’il existe plusieurs régions adaptées pour la production de la canne à sucre, des zones tropicales humide aux zones sahéliennes favorables à l’irrigation. 
Le produit est volumineux et la faiblesse des infrastructures de transport terrestre est un désavantage concurrentiel.
Le savoir-faire et les compétences de base sont disponibles dans le court terme. Salaires bas, taux de chômage élevé, niveau de productivité élevé de la main d’oeuvre, culture de l’agriculture

4. Perspectives d’investissements

De vastes étendues de terres ont été acquises par un investisseur français pour la production de la canne à sucre. Une nouvelle société sucrière privée, Forzi Sugar, construit actuellement une raffinerie de sucre dans la province du Sud-Ouest. 10 milliards de dollars seront investis dans la construction d’une raffinerie de sucre à Kumba. La réforme du secteur financier, en plus des dépenses fiscales prudentes, a rendu les perspectives de l’industrie sucrière plus attrayantes pour les investisseurs du secteur privé

1. Impact de la croissance du secteur

§Actuellement, le Cameroun importe du manioc à hauteur d’environ 500 000 dollars, ce qui indique l’existence d’une demande locale et le potentiel de réduire les importations à travers la production locale
Ce secteur pourrait avoir un impact considérable en termes de création d’emplois
Il existe un énorme potentiel pour que le manioc serve de substitut au blé, cela pourrait avoir un impact négatif sur la demande de blé

2. Opportunités commerciales

La demande mondiale devrait atteindre 3,1 milliards de tonnes d’ici 2015, avec un taux de croissance annuel moyen de 2,4 %. La demande d’amidon de manioc du secteur industriel est élevée en China, étant donné que ce produit est utilisé comme un intrant pour plusieurs processus industriels.  
La demande locale est en croissance, en particulier au vue de la hausse de la demande de manioc en tant qu’aliment de bétail. Le RDC a une importante demande de feuilles de manioc. Il existe un potentiel pour que la farine de manioc devienne un substitut de la farine de blé

3. Compétitivité

Les zones de production optimale de manioc sont situées dans le Centre (zone forestière bimodale), étant donné que le climat, les températures, la pluviométrie et le sol de cette région sont appropriés pour la culture du
manioc. 
Coûts élevés de l’électricité du fait de la pénurie de la fourniture, de même que la faible densification du réseau routier. Toutefois, les routes qui nécessitent une mise à niveau / une construction ont été identifiées par le gouvernement. En outre, la fourniture de l’électricité et de l’eau est en cours d’amélioration pour satisfaire la demande.
Le savoir-faire et les compétences de base sont disponibles dans le court terme. Salaires bas, taux de chômage élevé, niveau de productivité élevé de la main d’oeuvre, culture de l’agriculture. 

4. Perspectives d’investissements

§La société IKO a déjà effectué des tests de production de maïs sur une partie des terres situées à Ndjoré, mais son intention déclarée est de poursuivre avec la production du manioc. Sino-cam a obtenu un bail 99 ans sur une importante surperficie de terres agricoles productives pour la production et la commercialisation du manioc


1. Impact de la croissance du secteur

Le Cameroun exporte actuellement du cacao à hauteur d’environ 7,25 milliards de dollars par an. Les principales destinations sont les Pays-Bas, la Belgique et la France.
Actuellement, plus de 600 000 de personnes sont employés dans ce secteur. Potentiel de création de 5 000 à 10 000 emplois supplémentaires
Le cacao est utilisé comme intrant pour le traitement des produits alimentaires,
en particulier en termes de confiseries et produits à base de chocolat.
 

2. Opportunités commerciales

§Augmentation de la demande, due en partie à l’accroissement de la demande de chocolat en Asie Pacifique, parallèlement à la réduction de la production. Malgré la faiblesse relative des prix mondiaux, il existe un potentiel pour accroître la production afin de combler l’écart.
§La demande national devrait progresser, du fait de l’augmentation des revenus disponibles. La production de cacao devrait augmenter de 34,9 % d’ici 2014/15, bien que cela serait insuffisant pour compenser la demande.
 

3. Compétitivité

§Les zones de production optimale de cacao sont situées dans le Sud-Ouest (zone forestière monomodale) ; le Centre (zone forestière bimodale) ; et le Nord-Ouest (Hauts Plateaux).
§Coûts élevés de l’électricité du fait de la pénurie de la fourniture, faible densification du réseau routier. Les routes nécessitant une amélioration / construction ont déjà été identifées par le gouvernement. La fourniture de
l’électricité et de l’eau est en cours d’amélioration pour satifaire la demande.
§Le savoir-faire de base est disponible dans le court terme. Manque de connaissance concernant la période au cours de laquelle les fongicides et pesticides doivent être appliqués. 

4. Perspectives d’investissements

  • Le secteur est dominé par trois sociétés multinationales : Cargill (US); Barry Callebaut (Swiss) et ADM Cocoa Ltd. Des investissements substantielles et les réformes au niveau national sont affectifs dans ce sous-secteur.

 

1. Impact de la croissance du secteur

Les exportations de café s’élèvent à près de 59 millions de dollars l’an, ce qui représente 20 % du total des recettes d’exportation.

Les vastes plantations de café ont un potentiel d’employer environ 5 000 emplois

Aucun intrant significatif pour les autres secteurs

2. Opportunités commerciales

Malgré la volatilité, la demande et les prix mondiaux sont en progression. La demande pour le café sélectionné et de marché de niche est particulièrement élevée, étant donné que les consommateurs font de plus en plus preuve de discernement.

La production locale de café devrait augmenter de 33,5 % d’ici 2014/15. La demande ne devrait pas progresser dans la même proportion. L’excédent résultant a le potentiel permettant aux exportations de satisfaire la demande mondiale croissante.

3. Compétitivité

Les zones de production optimale de cacao sont situées dans le Sud-Ouest (zone forestière monomodale) ; le Centre (zone forestière bimodale) ; et le Nord-Ouest (Hauts Plateaux).

Les objectifs de la Stratégie de développement de la filière café du Cameroun comprennent l’accroissement du nombre de magasin de stockage ; sources d’eau. Les routes nécessitant une amélioration / construction ont déjà été identifées par le gouvernement. Bonne gestion des services au niveau du port de Douala

Population jeune active ; tradition de production du café ; bonne maîtrise du produit par les producteurs ; production diversifiée ; bons services de traitement du produit dans les zones de production.

4. Perspectives d’investissements

Les entrepreneurs locaux possèdent les moyens et le savoir-faire pour affronter la concurrence

 

1. Impact de la croissance du secteur

La majorité du bétail est importée, soit environ 2 millions de dollars, ce qui indique l’existence d’une demande locale. La viande de porc est importée à hauteur de 1,5 millions de dollars, et la volaille à hauteur de 200 000 dollars.

Ce secteur a un potentiel en termes d’investissements et de création d’emplois, soit 5 000 emplois supplémentaires

Les aliments riches en protéines constituent un élément du régime alimentaire. Ainsi, les changements des prix dans ce secteur ont un effet sur les revenus disponibles pour la consommation d’autres produits.

2. Opportunités commerciales

Il est prévu une augmentation modérée de la production et la consommation mondiales. 87 % de la croissance mondiale est attribuable au pays non membres de l’OCDE. L’augmentation du pouvoir d’achat dans les pays en développement a entraîné la hausse de la demande d’aliments riches en protéines.

Importants volumes d’importations de volaille et de bétail, ce qui indique l’existence de la demande. Toutefois, la demande a un impact sur les revenus.

3. Compétitivité

Le centre du Cameroun est dominé par le massif de l’Adamaoua, un plateau occupé par des peuplements épars et une région de transition qui s’étend des forêts du sud à la savane du nord, utilisée principalement pour les pâturages. Avec l’augmentation actuelle des zones de cultures et la croissance démographique, il y a moins de pâturage disponible La gestion et l’exploitation minimale des pâturages dépendent des parcours pauvres et dégradés souvent à très faible qualité nutritive. Le bétail est élevé dans le cadre de systèmes extensifs et la disponibilité des forages est un problème majeur.

Le réseau ferroviaire comprend une ligne de 1 100 km de long, appartenant à l’Etat. Le Ministère de Transport envisage d’étendre le réseau ferroviaire ; des études de faisabilité sont en cours.

La production de volaille est organisé et en dehors des sociétés privées, on a des activités à grande échelle visant à fournir les poussins d’un jour et des oeufs fécondés aux éleveurs. Des usines ont été créées afin de produire des aliments pour volailles et porcs. Les éleveurs ont développé un système agricole original qui intègre de façon harmonieuse les cultures et la production animale. 

4. Perspectives d’investissements

Aucun opérateur étranger n’est présent.

1. Impact de la croissance du secteur

Les exportations actuelles de bananes et plantains s’élèvent à environ 3 milliards de dollars. Exportateurs de bananes de poids relativement faible au Cameroun par rapport aux marchés de l’Amérique latine. Les exportations vont essentiellement vers le maché européen.

Des plantations supplémentaires de variétés de fruits tropicaux pourront avoir un impact positif sur les emplois et les revenus

Ce secteur pourrait avoir un impact sur le secteur du traitement des aliments. Amélioration de la qualité, réduction des coûts pour le secteur du tourisme, consommateurs locaux

2. Opportunités commerciales

Malgré le ralentissement, la demande continue à croître dans les principaux marchés (UE, Moyen-Orient, Asie) ; toutefois, davantage de pays se lancent actuellement dans le secteur de l’horticulture

A mesure que les revenus croissent, la demande de fruit et légumes, et produits transformés (jus, etc.) croît plus vite que les autres aliments de base ; plus l’augmentation des opportunités qu’offre la CEMAC en termes d’exportations

3. Compétitivité

Les zones de production optimale pour la banane incluent le Sud-Ouest (zone forestière monomodale) et le Centre (zone forestière bimodale).

La production de fruits tropicaux se déroule dans les régions côtières ayant un accès facile au transport portuaire. D’importants travaux de rééquipement et de rénovation ont été réalisés au port de Douala. Toutefois, les installations de stockage demeurent une préoccupation.

Les compétences de base en matière de production sont disponibles ; il est nécessaire d’effectuer des mises à niveau et d’assurer les services d’appui (certification, emballage) ; toutefois, ces questions peuvent être gérées à travers les investisseurs privés

4. Perspectives d’investissements

La banane est essentiellement produite par des sociétés privées françaises et américaines, notamment CDC, SPNP et Del Monte. . A Nanga-Eboko, une multinationale chinoise connue sous le nom de Sino-Cam a obtenu un bail de 99 ans portant sur de vastes étendues de terres productives. Cette société est spécialisée dans la production et la commercialisation du riz, du maïs, du manioc, de fruits et légumes